Houram Jeu 21 Fév 2008 - 19:19
Je commencerais ma réponse par la célèbre citation :
"la libertés des uns s'arrètes là où commence celle des autres"
Citation remarquable pour deux raisons principales :
D'abord, c'est une phrase qui en jette, un au pluriel, j'adore. Et en plus il y a trois accents sur trois lettres différentes !
Ensuite, parcequ'elle démontre tout le paradoxe que renferme la notion de liberté. En effet la notion de liberté se conçoit d'abord comme quelque chose d'infinie, la liberté est infinie puisqu'elle nous propose de faire ce que l'on veut. Mais en pratique, on s'aperçoit bien que la liberté réel dépend toujours de l'autre, déjà dans une notion de limite, ensuite simplement parceque l'homme n'est homme qu'au sein du groupe (mais c'est un autre débat)
Certains diront que la liberté n'est alors qu'une utopie, et c'est là que je soulève le problème majeur de l'interprétation des mots par chacun. La liberté total revenant à chacun de faire ce que bon lui semble est certe impossible, mais est-ce pour autant que nous ne sommes pas libre ?
Je fais partie des gens qui considère que nous sommes belle et bien libre, ou en tout cas que nous pouvons le devenir. Puisque la première des libertés est celle de choisir à quel point nous le seront, et tous içi nous avons choisit et accepté les limites à notre liberté. Je veux dire par là que l'homme a été libre de vivre dans un système anarchique, mais qu'il a décidé de vivre dans un système qui lui limitait ses libertés (et le pourquoi de ce choix serait encore un autre débat)
Pour résumer mon point de vue, la liberté, c'est le fait de se sentir libre. Certe nous ne le somme probablement pas réellement, mais si nous le croyons, nous l'acceptons, et nous revoyons notre besoin de liberté pour se satisfaire de ce que l'on a. Et donc tout vas bien !
P.S : j'ai l'impression d'écrire que des phrases incompréhensible, dites le moi si c'est le cas^^